La question de la refonte des zones péri-urbaines concentre de nombreuses attentions. Ces territoires qui tombent en désuétude ou qui ont mauvaise presse, ne permettent plus de réinsuffler des activités et des commerces de proximité. Le constat est criant, cela crée des distances sur des territoires où la mobilité est un sujet brûlant. Le contexte change. Fort de ce diagnostic, le projet de Valence d’Agen est un révélateur d’un modèle repensé, réinvestissant l’existant, pour diminuer l’imperméabilité des sols, reconstruire sans tout détruire.
Les acteurs locaux récréent de l’emploi local pour des populations devant aller plus loin pour leurs vies au quotidien.
REC vient de livrer la première tranche de Valence d’Agen, une opération mutable et flexible venant ainsi repenser une entrée de ville où l’urbanisme doit innover en recomposant un territoire existant. L’enjeu de nos sociétés est ainsi de comprendre ces lieux, ces pratiques, pour répondre aux aspirations des populations, réduire les consommations énergétiques et recompacter ainsi un tissu péri-urbain.